Voyage d'une libellule en poèsie !

reveille toi, je dois m'en aller

cette auto m'emmene et je la laisse aller

sale matinée qui sent la fumée froide

Déjà ton visage de ma mémoire s'évade.

je ne pense pas que je  reviendrai,

Tu sais tu vas me manquer.

Je suis parti sans toi

Maintenant tu es très loin de moi ;

et je ne reviendrai pas vers toi

Je sais que tu ne me rejoindras pas....

Ecoute, notre vie à changé

on ne peut plus s'aimer

Notre amour est bien fini ,

restons de bons amis.

c'est beaucoup mieux comme cela

c'est TOI qui l'as voulu

A présent, n'en parlons plus...!

patrice roy ségard --- aout 1988

.      Le phare ..

comme une bougie de l'espoir

Il brille toute les nuits

sans risque de decevoir,

car il n'a pas d'ennemis ,

sans lui , bien des navires

aurait briser leur avenir....

Parfois abandonné

là, au bout de la jetée.

Mais toujours present Quand les amoureux échangent leur beaux serments !

par des baisers langoureux

Par son éclat régulier

ils protègent le globe;

comme l'oeil du Cyclope

seul,    là-bas.....au bout de Sa jetée

libellule(c)

Crepuscule

A l'aube d'un nouveau jour,

une colombe s'envole

Sur la ville encore endormie ;

Les étoiles s'éteignent

Une à une jusqu'au soir

Où elle brilleront

une nouvelle fois

Tout au long de la nuit .

Une colombe se pose A la tombée du jour....

Là , doucement sur mon épaule !

 ©et ®Libellule

Eclipse

Dans la forêt les animaux dorment,

La lune se reflète dans l'eau ;

Il n'y a pas de bruit

seulement le vent dans les arbres...

Le Soleil ne verra jamais la Lune.

A l'aube ,le cri des oiseaux ,

tous les animaux se reveillent

Le soleil fait un clin d'oeil à la lune

Elle brille, il chauffe   tout là-haut.

Ils se rencontreront sûrement.

Peut-être le jour d'une Eclipse ?

Les bêtes courent dans les bois ,

Le Soleil  à enfin vu la Lune .......

©et ®Libellule

L'incOnnUe

A la lueur d'un réverbère

J'apercus son visage,

Un sourire au coin  des lèvres

Elle était là...

Elle attendait

Dans cette rue sombre

Loin de tout le monde

Une voiture est arrivée

Elle y est montée

Je ne l'ai jamais revue.....

*

Adieu petite fille

©et ®Libellule

Dans le brouillard

Dans cette nuit noire

Une lueur d’espoir ….

Je revis …

Ni le froid, ni la tempête

Ni le vent et la pluie

Ne m’empêcheront de vivre.

La vie est si belle 

Et le soleil est si chaud …

Que la vie est belle .

 ©et ®Libellule

Sur un paysage de verdure

Je me retrouve étendu

Je profite de cet air pur

Pour rechercher l’inconnu.

Cet inconnu est peut être mon maître !

Quelle raisons me poussent à le trouver ?

Pour connaître la sérénité,

Et aussi être initié.

La route sera longue, je le sais.

Mais j’ai de la volonté, je vais y arriver.

Et tout seul, isolé, je méditerais

 Sur le chemin de ma vie

Dans un silence lointain Dans l’obscurité sans fin

A travers les plaines et les forêts

Voyage à la vitesse du vent

Je me déplace aussi vite que la lumière ;

Vais d’un continent à l’autre, aussi vite que l’éclair.

Que cela dur très longtemps, dans la nuit des temps

Tout ceci n’est qu’un rêve,

Un voyage dans l’astral ….

Mais un voyage sidéral .

A vous

Je ne sais comment vous le dire

Ce n'est peut être par un poème

Mais je peux vous l’écrire quand même.

Depuis tant d’année, où vous m’avez aidé

Avec force, vous m’avez soutenu.

A dépasser les obstacles de la vie

Encore maintenant, vous êtes là.

Je ne trouve pas les mots à dire

Mais je pense que par un sourire

Vous comprendrez mon message.

Le mot que je vous dis, veut dire beaucoup :

merci

mes amis

J’ai fait une petite halte ,

Là,

Sur le bord du chemin,

Ce chemin qui est ma vie,

Afin de lire un livre et puis de rêver

Car c’est souvent dans les rêves,

Que nous avons les réponses à nos questions………

Puis soudain en me levant

Je vous ai vus au loin devant moi,

Je vous ai appelés,

Et vous m’avez attendu ;

Je vous ai raconté ce rêve

Vous avez imaginé les images

Vous avez compris mon histoire.

Merci mes amis, je vous Aime

© et ® Libellule

Je suis l’oiseau rêveur

              qui change souvent de couleurs

Quand il fait beau, je deviens Bleu

Quand il fait gris, je deviens noir.

                 Je rêve ? 

                                        Non !

Je rêve, je rêve, je rêve.

Quand j’ai froid, une dent me pousse

Mais quand je ne rêve plus

                   Je redeviens l’oiseau nu ... 

Et quand j’ai chaud, une plume s’envole de ma tête

Et je ne chante plus                   La nuit venue

Je ne pense plus à rien,

J’attends simplement..........

                                        demain 

®  Libellule

® et ©  Les quatre saisons

 l'été

Belle saison pour se promener

Belle occasion pour se baigner

Voir le ciel bleu, à l’infini

Et profiter des bains de minuit.

Une saison à ne rien faire en l’occurrence

S’évader loin en vacances,

Ou malheureusement, rester enfermé

Dans un bureau à travailler…..

Se balader à la montagne

 Faire des escapades à la campagne

Cueillir des fleurs des champs

Et dans ces derniers, écouter le bruit du vent.

 l'automne

Les feuilles qui s’envolent au vent de l’automne

Nous laissent nostalgiques, elles font monotone.

Je me souviens des soirs de veillée

tous assis prés de la fenêtre

Face à la cheminée allumée

Nous les regardions tomber et disparaître.

Toutes les saisons sont pareilles,

Mais ne se ressemblent pas.

L’hiver nous ne sortons pratiquement pas

Nous hibernons comme des abeilles …

Ces feuilles, dans un destin tragique

Finissent balayées, ou comme décoration classique.

Avec la pluie, reste un doux parfum romantique

Et ce grand tapis de feuilles nous émerveille.

L’hiver qui recouvre la terre

De son grand manteau blanc

Laisse un tendre souvenir

Dans le cœur des petits.

La neige et les cadeaux

Ou les veillées au coin du feu .

Ah ! comme ils sont heureux ,

Ou bien malheureux,

Là bas dans le quart-monde

Ignorés de tout le monde,

un sourire leur ferait plaisir

pensons-y nous les grands

ne laissons pas mourir la terre,

disons leur simplement un mot......

 Là-bas à l’horizon

           Peut-être une chanson,

Dans ma tête je fredonne

Des airs qui résonnent

A quelle saison ?

C’est le printemps !

J’y pense de temps en temps

 Sûrement ma chanson

Qui me plait, qui résonne, qui dit vrai ;

Je la chante, c’est la vie, et après !

Certainement au printemps !

Mais est-ce bien évident ?

Là-bas à l’infini

Bien sûr cette chanson,

 Dans ma tête je l’oublie

Et… je ne me souviens plus de la saison.

Libellule®